Comment réussir une soirée selon Inge Onsea, la créatrice d’Essentiel ?

Publié le 21 décembre 2018 par Marie Guérin
Comment réussir une soirée selon Inge Onsea, la créatrice d’Essentiel ?

La créatrice de la marque Essentiel nous livre sa recette d’une soirée entre amis.

Quelle est la première chose à laquelle vous pensez au moment d’organiser une soirée ?

Les invités. J’adore mixer les gens, les âges, c’est super important. Le reste vient après tant qu’on a un bon gin tonic ! (rires)

Comment imaginez-vous votre plan de table ?

Dix minutes avant l’arrivée des invités, au moment où je sais précisément qui sera présent. Je connais mes amis, alors j’essaie de ne pas toujours mettre les mêmes personnes ensemble. Je sépare les couples (sauf les couples récents).

Comment choisissez-vous la déco ?

J’aime l’overdose de décorations sur une table, il faut que ce soit luxueux. J’aime la belle vaisselle, les objets dorés, le mix de couleurs contrastées. Pour les fleurs, je fais appel à Baltimore (Anvers) qui est très créatif et qui a carte blanche. Pour la décoration et la vaisselle, je déniche tout chez Jean-Philippe Demeyer qui propose des pièces spectaculaires. Je privilégie les grandes bougies, la lumière est très importante. Petite originalité également, j’aime varier les lieux. Parfois le dîner prend place dans le hall ou dans la cuisine !

Et le menu, vous cuisinez ?

Je cuisine deux plats : le tajine au poulet citron ou le cabillaud au fenouil.  Sinon, je fais appel au traiteur Thomas Van Dijck qui tient compte des régimes alimentaires de chacun. Pour les boissons, mon bar est toujours prêt pour une fête : gin, vodka, vin et champagne. Mes potes l’ont bien compris ! (rires)

Une playlist fétiche ?

Mes amis se moquent toujours de moi parce que je passe toujours la même : hip-hop des années 90 avec 50 Cent (que j’adore !) En fin de soirée, tout le monde se lève pour danser.

Votre meilleure fête ?

J’ai organisé l’anniversaire de mes 47 ans dans une église désacralisée d’Anvers dans l’esprit du film « Eyes Wide Shut». L’invitation façon faire-part nécrologique, danseurs avec masques, plumes et dentelle, DJ devant une croix de feu, des centaines de bougies au plafond : c’était mystérieux et décadent. Il y avait un dress code et j’avais une longue robe rouge et une perruque noire.

Faire la fête, c’est mon oxygène. La vie est tellement stressante, il faut danser, se faire plaisir et s’entourer des gens qu’on apprécie.

Amen.