La Belge-espagnole Maithé Rivera a été invitée par CYBEX à participer à la ELLE Run avec sa fille Mae et la AVI SPIN. Elle relève ce défi pour inspirer d’autres parents à faire du sport en famille. Tout en s’entraînant pour un Ironman et un marathon, elle doit aussi s’occuper de sa fille d’un an. Voici comment elle organise son emploi du temps, reste motivée et intègre Mae et son partenaire Sean Dhondt dans ses séances.

Depuis l’enfance, le sport fait partie intégrante de la vie de Maithé. Ce qui a commencé par l’athlétisme à l’âge de dix ans est devenu une passion qui l’a menée du marathon de New York aux triathlons. Aujourd’hui, elle s’entraîne pour un Ironman, un marathon et la ELLE Run, tout en réservant consciemment du temps à sa fille et à son compagnon. « Tout est une question d’organisation », sourit-elle.

À lire aussi  Afrique du Sud : évasion garantie au Esiweni Safari Lodge

Le sport occupe clairement une grande place dans ta vie. Quand as-tu commencé à courir et à faire des triathlons ?

« J’ai commencé la course dans mon club d’athlétisme local quand j’avais une dizaine d’années. J’avais tellement d’énergie à dépenser que c’était parfait pour moi (rires). Les triathlons sont venus bien plus tard, il y a environ cinq ans. Pendant le covid, je me suis mise au vélo et j’ai tellement aimé ça que j’ai commencé à participer à des triathlons. »

Tu t’entraînes aujourd’hui à la fois pour un Ironman, un marathon et la ELLE Run. À quoi ressemble une semaine d’entraînement ?

« Je cours généralement trois fois par semaine : une séance d’intervalles, une sortie longue et une course d’endurance plus rapide. À côté de ça, je fais deux sorties vélo et une séance de natation. Pour les triathlons, je pratique parfois le brick training, par exemple en enchaînant vélo et course. »

Emmènes-tu souvent ta fille lors de tes séances ?

« Oui, lors de mes footings lents ou de récupération, Mae vient avec moi dans la poussette – l’Avi Spin de Cybex pour être précise. Quand elle était bébé, je la déposais sur un tapis à côté de moi pendant mes exercices de gainage. Dès qu’elle a été assez forte pour s’asseoir, j’ai commencé à l’emmener courir avec moi. »

Qu’apprécies-tu le plus dans la poussette Avi Spin en tant que maman sportive ?

“C’est tout simplement une poussette polyvalente. Je l’utilise pour courir, sur chemin ou en ville. Les freins sont pratiques et sûrs, et le guidon s’ajuste facilement pour que mon ami et moi puissions alterner. La poussette est confortable et sûre pour Mae, et le grand pare-soleil avec UPF50 est parfait.”

À lire aussi  Comment bien choisir ses chaussures de running (sans se ruiner)

Modifies-tu ton rythme ou tes itinéraires quand tu cours avec ta fille ?

« Quand j’emmène Mae, c’est plutôt un fun run. Il ne s’agit pas de vitesse ni de chrono, mais de sensations. Je cours souvent le long de la digue ou en forêt. Parfois aussi autour du lac Nieuwdonk à Berlare, où il y a une ferme pédagogique où l’on s’arrête un moment. Mae adore ça. »

Comment équilibrer le sport et les moments en famille ?

« En planifiant en permanence. Le week-end, je mets mon réveil tôt pour profiter ensuite de toute la journée avec ma famille. Ou je m’entraîne avant que mon compagnon ne rentre du travail, pour qu’on passe la soirée ensemble. »

Quelle place occupe ton partenaire dans cette organisation ?

« Sean a toujours été impliqué. Parfois, il court, pédale ou nage avec moi, parfois il garde Mae pendant mes entraînements. C’est aussi une forme de temps partagé : il m’aide, m’encourage et filme parfois des images pour Instagram. »

Comment récupères-tu mentalement et physiquement entre les séances ?

« Le repos est primordial, tout comme le sommeil – ce qui reste un vrai défi avec un enfant en bas âge (rires). Mais j’essaie de dormir le mieux possible et de manger sainement. Ça change tout. »

Quel conseil donnerais-tu aux parents qui veulent intégrer le sport à leur vie de famille ?

« Ça peut sembler difficile de trouver du temps et de l’énergie, mais après on se sent toujours mieux. Fixer un objectif, comme un semi-marathon, donne une motivation supplémentaire. »

À lire aussi  Pourquoi tout le monde s’y met : le 75 Soft Challenge, le défi feel good du moment

Qu’est-ce qui te motive les journées difficiles ?

« De petits ajustements, comme tester un nouveau parcours, écouter une autre playlist ou m’entraîner avec une amie. Même quand c’est dur, le simple fait d’y aller est déjà un progrès. »

De quoi es-tu le plus fière ?

« Du marathon de New York, il y a deux ans. Je l’ai couru en 3 h 10 et l’ambiance était incroyable. C’était ma première fois aux États-Unis, et deux semaines plus tard j’ai découvert que j’étais enceinte. Cela rend cette expérience encore plus spéciale. De plus, ce week-end, j’ai participé au 70.3 Ironman en Émilie-Romagne et l’année prochaine, je participerai au Championnat du Monde à Nice. »

Qu’aimerais-tu que ta fille retienne de ton mode de vie actif ?

« Que bouger, c’est amusant. Être en bonne santé ne se résume pas à la discipline, il faut aussi y prendre du plaisir. J’espère qu’un jour nous pourrons courir ensemble. Même si je me doute qu’elle me dépassera plus vite que prévu. »

AVI SPIN

© Cybex

Je la veux !

Cet article a été réalisé en étroite collaboration avec Cybex.