Témoignages: vos pires hontes sexuelles

Mis à jour le 20 février 2018 par ELLE Belgique
Témoignages: vos pires hontes sexuelles

1

On a toutes vécu des situations scabreuses qui, sur le coup, nous ont foutu la honte. Avec le temps, elles nous font marrer. Vous nous les avez racontées...

Panique : mon canard vibrant a disparu. Je le cherche partout dans la salle de bains, sans succès. Le mercredi qui suit, ma mère vient garder les enfants à la maison... et retrouve mon sextoy préféré dans le bac à jouets. Elle a fait semblant de ne pas capter...

Céline, 34 ans.

C’est notre premier week-end ensemble. Je n’ose pas aller faire caca. Mon ventre commence à émettre de drôles de gargouillis. Je le supplie d’aller acheter des croissants et j’en profite pour m’enfermer dans les toilettes pour me soulager. J’essaye de tirer la chasse... sans succès. L’eau de tout le bâtiment venait d’être coupée...

Alice, 24 ans.

Ça fait des jours qu’on se chauffe virtuellement. Il n’est pas libre, moi non plus. Un jour, sur le temps de midi, il parvient à s’échapper de son boulot et décide de venir me kidnapper pour une escapade sexuelle de quelques heures. Je ne me suis pas épilée le bikini depuis au moins une année. Paniquée, je m’enferme dans les toilettes avec une serviette hygiénique que je décide d’utiliser comme une bandelette de cire dépilatoire... Mauvaise idée.

Hélène, 29 ans.

On est dans la voiture, elle conduit, je suis sur le siège passager. Je commence à la toucher et je décide de pimenter la caresse avec un peu de lubrifiant. Je fouille dans mon sac, j’en ressors le petit flacon, Je m’en enduis les doigts. Je reprends. Elle grimace... J’avais confondu l’échantillon de lubrifiant avec celui de gel hydroalcoolique désinfectant... Hé oui, à cet endroit-là, ça pique !

Stéphanie, 36 ans.

Le gars est charmant, très très poli, très « comme il faut ». Il prend son temps. Au bout de quatre rendez-vous, on finit chez moi, très excités. On s’arrache littéralement nos vêtements. Au moment de jouir, il me souffle dans le cou : « Je peux t’appeler maman ? » J’étais tellement abasourdie que j’ai dit « Oui ! » La honte !

Linda, 40 ans.