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La boutique Louise 54 se recentre sur des maisons plus indépendantes, porteuses d’âme et d’avenir.

Dès le mois de juin, on pourra shopper à Bruxelles la collection automne/hiver d’Anthony Vaccarello, avec ses silhouettes ultra sharp pour filles à l’aise avec leur féminité, la pré-collection de Valentino, très Couture avec des accents orientaux, et à partir de juillet, les pièces du défilé de Junya Watanabe (dans la veine de Comme des Garçons).

Une quinzaine de silhouettes pour chacune de ces maisons, choisies par Alain et Suzy Dzialowski, les fondateurs de Louise 54, qui entendent affirmer le nouveau parti-pris de leur multimarques de luxe : des collections anticipatives pour garantir aux clientes une sélection pointue de stylistes qui sont, selon eux, “l’avenir de la mode” :

“Fini ce jeu de chaises musicales des stylistes parmi un certain panel de grands groupes. C’est une nouvelle page qui s’écrit pour nous, celle de la défense de maisons qui proposent une valeur ajoutée, un retour aux fondamentaux. L’heure de mettre en avant la création pure, des codes différents des marques qui proposent des produits calibrés pour la conquête des parts de marchés. Nous désirons apporter une démarche de valorisation : des femmes qui veulent se distinguer du mass-market, des plagieurs. Une alternative à la globalisation”.

A deux pas des boutiques de grande distribution de la mode à Bruxelles, cette volonté de varier l’offre apporte comme une bouffée de printemps.

Louise 54