Soirées de filles mercredi et jeudi que faire ?

Publié le 20 mars 2018 par Elisabeth Clauss
Soirées de filles mercredi et jeudi que faire ?

En attendant le printemps, faisons fleurir quelques sourires, on ne sait jamais.

1/

La vente privée de bijoux articulés Sara Esther, mercredi soir :

Formée aux Arts et Métiers en joaillerie, Sara est issue d'une tradition familiale de bijoutiers artisans à Bruxelles. Sa ligne de joaillerie, jeune et brillamment inventive est doublée d'histoires et d'articulations à complications qui simplifient la vie. Et pour tenir l'ensemble, des griffes d'humour et d'or : « il y a toujours un côté ludique, un jeu sur la magie des caractères, des pièces à mécanismes. J'aime être là où l'on ne m'attend pas, dérouter. Je peux être éclectique, mais je reste logique ». Ne manquez pas ce rendez-vous si vous rêvez de sa chevalière à bascule. On ne sait jamais ce qui nous fera tourner la tête...

2/

Un défilé de lingerie kinky avec Eva Luna, débauche de sacs artisanaux Lilù, et accessoires de mode et déco, chez Hopono Concept Store

C'est une soirée filles, avec show lingerie, shopping de dentelles, et grignotages.

Vous connaissez Eva Luna, le love shop qui vous accompagne pour le plaisir jusqu'à la lune, et retour. Une belle boutique boudoir à l'atmosphère ouatée et discrète, dont l'élégance nous touche, de la déco à la pointe du dos. Charlotte Ledent, sexologue et psychothérapeute, a créé Eva Luna non pour vendre des dildos au kilo, mais pour soutenir chacune et chacun dans ses envies d'être bien avec son corps, et le corps des autres. Bougies de massages ou joujoux intimes, la gamme est vaste, mais jeudi soir, vous ne verrez que de la belle lingerie défiler, pour explorer, plus tard, un plaisir boosté, l'égo respecté.

3/

Lilù, l'affaire est dans le (très beau) sac.

Pour sa nouvelle collection d'été, Lilù évoque le bling décomplexé des eighties, avec cloutages gaînés de cuir argenté et embossements dorés. Emmanuelle Adam développe des cuirs à picots, et les interprète en sacs à dos et sacs bananes qui n'ont de rétro que l'évocation : les lignes de cette nouvelle collection interpellent par leur modernité qui frôle, par touches métallisées, la science fiction. De ces matières singulière, la créatrice tire des usages inattendus. Elle décline une matière serpent argenté flash, imagine des cabas – pratiques et contemporains – en cuir ajouré au laser. Les grands volumes recèlent des pochettes à l'intérieur, pour protéger et retrouver au premier coup d'oeil les clefs ou le téléphone dont on a besoin rapidement. Les peaux sélectionnées sont souples et naturelles, car l'éthique pèse autant dans l'identité de Lilù que l'esthétique. Lors du défilé, vous pourrez les détailler, les admirer et ça, vous pourrez toucher...

Inscription obligatoire, sur la page FB.