Depuis trois saison, la Chinoise Mashama développe une identité moderne, affutée, sexy. Cette saison, elle exacerbe les codes du punk.
Elle a fait Saint Martins, a travaillé avec Alexander McQueen. En 2011, elle a fondé sa marque, à cheval sur Shanghai et Paris.
Travaillant sur une séduction assertive, Mashama construit des silhouettes qui attisent les essentiels d’un univers rock fétichiste : le tartan déluré, les résilles, le cuir verni, les déchiquetages luxueux, et bien sûr, l’usage débridé de brides et harnais. Une maison commence à attirer l’attention de la fashion Week parisienne, à garder à l’oeil et à l’aine.