Envie d’apprendre un beau métier ?

Mis à jour le 16 février 2018 par ELLE Belgique
Envie d’apprendre un beau métier ?

Travailler dans l’esthétique c’est bien plus qu’une carrière. C’est exercer un art qui puise tout son sens dans le sourire d’une cliente comblée. Le CEDEB (Centre Européen de l’Esthétique Bruxelles) a pour vocation de former ses élèves aux métiers de la beauté et du bien-être tout en leur dessinant un avenir professionnel. Mieux qu’un simple diplôme, cette école offre une véritable maîtrise de toutes les facettes d’une passion…

Un autre regard sur le secteur de la beauté

On ne naît pas avec des « doigts de fée » : on étudie l’anatomie musculaire pour pouvoir dénouer les dos stressés, on apprend les huiles essentielles pour offrir une parenthèse de sérénité, on gomme les petites imperfections grâce à une série de mouvements savamment chorégraphiés, on maquille un visage pour sublimer chacun de ses traits… Au CEDEB, on apprend tout cela et plus encore. Outre une formation d’esthéticienne, le Centre Européen d’Esthétique Bruxelles propose une série de modules de spécialisation. Du master au cursus en marketing en passant par les extensions de cils, le modelage d’ongles, le rituel polynésien, ou encore les bases du relooking. Las des clichés et des préjugés, le CEDEB met tout en œuvre pour apprendre à ses étudiantes à être bien plus que « des poseuses de crème ou de fond de teint », et ce, avec une expérience qui fait ses preuves depuis plus de 20 ans.

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« Pour chaque formation, nous enseignons une culture générale propre à chaque thème » souligne Madame Errico, directrice générale du CEDEB. « La théorie est vue et expliquée dans les moindres détails en cours. Tandis que la pratique est suivie au cas par cas avec les professeurs. Nous partons de zéro avec chaque élève. L’apprentissage passe aussi par la mise en situation réelle. Nous faisons en sorte de placer nos étudiants en stage professionnalisant et de les faire participer à des évènements à but social. Il leur arrive donc de faire des maquillages de spectacles ou de masser de sportifs pour une association par exemple. » Pour aider les élèves à s’améliorer, des conseils de classes sont organisés chaque trimestre.

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L’école garantit un suivi personnalisé mais aussi très intègre puisqu’ici même le sponsoring n’existe pas. Fait rarissime dans le secteur : « Nous ne parlons jamais de marque pour ne pas inciter les élèves à acheter, nous préférons les laisser penser par elles-mêmes en proposant plusieurs méthodes de travail et plusieurs esprits de cosmétique. »

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Directrice générale du CEDEB (hf-photography)

Presque trop beau pour être vrai ? Et si en plus, on vous disait que -pour une fois- l’enseignement privé ne vous coûtera pas un bras… En effet, la directrice est formelle, elle refuse que  ses recrues soient prises pour des « cochons payeurs »! «  Nous sommes installés en tant que SPRL-FS : cela signifie que tout bénéfice, s’il y a, doit être réinjecté dans l’entreprise afin d’améliorer le quotidien de chaque élève. Sur cette base, nous pratiquons donc des prix presque coûtant. Par conséquent, les étudiantes paient le prix de la formation tout compris, rien de plus. » ajoute-t-elle. Il ne va pas sans dire que vous pourriez bien avoir un job assuré dès la sortie de l’école avec tout ça… D’autant plus que « Ce qui ne mène pas à un emploi en Belgique n’est pas enseigné. Notre objectif est de former pour trouver un emploi, pas pour être compétente dans un milieu qui n’engage pas. Nous ne vendons pas du rêve ! », précise Madame Errico. Et pourtant, une école qui nous prouve de A à Z que nous le valons bien, c’est le rêve, non ?

Pour vous inscrire ou pour obtenir plus d’informations, rendez-vous sur www.cedeb.be